Parler de taudis ou de logement indécent, indigne, dégradé ou insalubre semble trop négatif.
Les acteurs concernés par ces problèmes, qu'il s'agisse d'habitants, d'élus ou d'intervenants privés, se sentent stigmatisés dès que ces questions sont abordées.
Mieux vaut parler de logement adéquat.
Même l'ONU utilise cette expression qui concilie humanisme, générosité et sérieux technique, tout en évitant un moralisme souvent lassant et parfois hypocrite.
Le bulletin Logement Adéquat n° 1 (qui est la suite du périodique Les Garanties Citoyennes de l'Habitat), est disponible en ligne (lien) dès ce jour.
Il vise à démontrer l'intérêt de ce changement terminologique.