IRC n° 654, décembre 2019, pp. 36 à 39
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La rigidité du statut de la copropriété des immeubles bâtis en France fait que certains détenteurs de logements préfèrent la désorganisation (absence de syndic désigné) voire l'inorganisation (absence de règlement de copropriété adopté). La situation devient alors difficile, ces immeubles étant peu attractifs lorsqu'un syndic professionnel doit en reprendre la gestion. Quant au recours systématique au juge, est-il opportun au vu de l'encombrement des tribunaux ?
Merci à EDILAIX de m'avoir permis de m'exprimer à ce sujet.
Thierry POULICHOT